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Konrad Lorenz
« Les bosquets et les prés marécageux des alentours de Tulln étaient le domaine de Konrad Lorenz, de ses randonnées le long du Danube, de ses bras et de ses canaux. Les histoires que les empreintes racontaient à son regard ou au flair de son chien — quand il habitait Altenberg, village situé entre Tulln et Klosterneuburg — sont plus intéressantes que celles que je glane sur les frises des maisons, dans les vieux livres ou les musées. Lors de ce voyage je rencontre trop souvent l’aigle héraldique à deux têtes et trop peu l’aigle royal ou l’aigle de mer, qui tournoient au-dessus des eaux du Danube ; Musil, François-Joseph, le Croissant et le Café Central laissent dans l’ombre des habitants plus anciens et plus légitimes de la Mitteleuropa, les ormes et les hêtres, les sangliers et les hérons. »
Claudio Magris, « Aigle à deux têtes et aigle de mer » in Danube, Collection L’arpenteur, Éditions Gallimard, Paris, 1988
Ses recherches ont été consacrées à l’étude du comportement des animaux dans leur milieu naturel mettant notamment en valeur l’importance de la notion d’empreinte. Elles ont contribué au développement de l’éthologie. Parti de l’observation patiente et minutieuse de certains oiseaux, Konrad Lorenz s’est interrogé sur l’homme et son devenir en tant qu’espèce sociale. Il s’est aussi illustré également dans le domaine de la protection de l’environnement danubien autrichien.
Konrad Lorenz enseigne de 1937 à 1940 à l’Université allemande Albertus de Königsberg, alors en Prusse orientale, aujourd’hui Kaliningrad, enclave russe, où il occupe la chaire d’Emmanuel Kant (1724-1804) puis, mobilisé et fait prisonnier par l’armée russe, il ne rentre en Autriche qu’en 1946.
Konrad Lorenz à Altenberg, photo droits réservés
Travaillant tout d’abord chez lui dans la maison familliale d’Alternberg, il devient codirecteur du département d’éthologie comparée de l’Institut Max-Planck, créé par ses soins en 1951 à Buldern en Westphalie (Allemagne) puis directeur de l’Institut Max-Planck de Seewiesen près de Munich à partir de 1961. Il revient alors à Altenberg. Dans les dernières années de sa vie, Konrad Lorenz apporte son soutien et se joint aux défenseurs de l’environnement et de la nature, en particulier lorsque le gouvernement socialiste autrichien décide de construire une centrale nucléaire à Zwettendorf sur le Danube, près de Tulln. L’opposition d’une grande partie de la population et un référendum obligera celui-ci à renoncer de mettre la centrale en fonctionnement. Il apporte encore son prestigieux soutien aux opposants du projet de barrage de Greifenstein, à proximité d’Altenberg et de sa maison, projet malheureusement réalisé puis de celui de Hainburg, en aval de Vienne, initiative critiquée vivement par les défenseurs de l’environnement soutenus par l’écologiste suisse Franz Weber (1927-2019)1 et dont l’abandon permit la création du Parc National des Prairies Alluviales Danubiennes et le sauvetage de ce patrimoine naturel unique.
Franz Weber à Hainburg en 1984
Le Prix Nobel de physiologie ou médecine qui lui fut attribué en 1973 provoqua une vive polémique dans une partie de la communauté scientifique qui contestait ses hypothèses. On lui lui reprocha également d’avoir été membre du parti nazi et d’avoir publié en 1940 dans une revue allemande un article intitulé « Désordres causés par la domestication du comportement spécifique à l’espèce « . Prairies alluviales danubiennes… « Comme coulées dans du plâtre, les traces des multiples habitants des prairies alluviales danubiennes ont été préservées dans les larges bandes boueuses jusqu’à la prochaine inondation. Qui a osé prétendre qu’il n’y avait plus aucun cerf dans ces lieux ? D’après les empreintes, de nombreux cerfs imposants semblent au contraire encore fréquenter ces forêts, même si on ne les entend plus à la période du rut. Les dangers de la dernière guerre, qui a fait dans ses derniers instants tant de ravages par ici, les ont rendus secrets et furtifs. Chevreuils et renards, rats musqués et rongeurs plus petits, innombrables chevaliers guignettes, pluviers, petit-gravelots et chevaliers sylvains ont déformé la boue avec les séries croisées de leurs déplacements.
Même si ces traces racontent à mes yeux les histoires les plus belles, combien plus nombreuses sont celles que détecte le seul museau de ma petite chienne ! Elle se régale dans des orgies d’odeurs que nous autres êtres humains, avec nos pauvres nez, ne pouvons même pas nous imaginer… » Konrad Lorenz
La forteresse de Greifenstein et le Danube au-dessus d’Altenberg (rive droite) en 1942 avant la construction de la centrale hydroélectrique, territoire d’observations et d’expérimentations multiples du scientifique autrichien
Max Weber parle dans son livre Le paradis sauvé, livre consacré à la lutte pour la protection des prairies alluviales danubiennes en aval de Vienne et à l’abandon du projet de barrage de Hainburg, sa rencontre à Altenberg en 1984 avec Konrad Lorenz :
« Et il nous raconte comment, jeune homme, il avait l’habitude de traverser les bancs de gravier clair, là-bas au bord du Danube, de patauger dans les eaux peu profondes et de se jeter enfin dans le fleuve, de le traverser à grandes brassées — comment, depuis l’autre rive, il pénétrait dans l’Au et comment il restait couché au plus profond de l’Au, « au bord d’un bras secret du grand fleuve, comme un crocodile enfoncé dans la vase », au milieu d’un paysage vierge dépourvu du moindre signe de l’existence d’une civilisation humaine. »
« C’est alors que je réussissais parfois, dit-il en poursuivant son anecdote, racontée également dans un de ses livres, à réaliser un miracle auquel les sages orientaux les plus érudits aspirent comme à un but suprême : sans que je m’endorme, mes pensées se dissolvent dans la nature qui m’entoure ; le temps s’arrête, ne signifie plus rien, et lorsque le soleil descend et que la fraîcheur du soir m’incite au retour, je ne sais plus si ce sont des secondes ou des années qui ont passé. Ce Nirvana animal est le meilleur contrepoids au travail intellectuel, un véritable baume pour les nombreuses écorchures à l’âme de l’homme moderne stressé. » Max Weber,Le paradis sauvé, Pierre-Marcel Favre, Lausanne, 1986
Bibliographie en langue française (sélection) Les animaux ces inconnus, Éditions de Paris (1953)
Il parlait avec les mammifères, les oiseaux et les poissons (traduit de l’allemand), Flammarion, Paris (1968) Évolution et Modification du comportement : L’inné et l’acquis, Payot, Paris (1967) Tous les chiens, tous les chats, Flammarion, Paris (1970) Essais sur le comportement animal et humain : Les leçons de l’évolution de la théorie du comportement, Le Seuil, Paris (1970) Une histoire naturelle de la connaissance, Flammarion, Paris (1975). Les Huit péchés capitaux de notre civilisation, Flammarion, Paris (1973) L’Agression, une histoire naturelle du mal, Flammarion, Paris (1977) L’Homme dans le fleuve du vivant, Flammarion, Paris (1981) Les Fondements de l’éthologie, Flammarion, Paris (1984) Les Oies cendrées, Éditions Albin Michel, Paris (1989) L’Année de l’oie cendrée, Stock, Paris (1991) L’homme en péril, Flammarion, Paris (1992) De petits points lumineux d’espoir, entretiens avec Frédéric de Towarnicki, Rivage, Paris (2009)
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Le Parc National des Prairies Alluviales Danubiennes
Un parc au patrimoine et à la biodiversité exceptionnels Ce parc, constitué de prairies et de forêts alluviales, est unique en son genre sur le territoire autrichien. Il est à la fois un magnifique oasis de verdure entre Vienne et Bratislava, la plus grande plaine alluviale naturelle intacte en Europe centrale et un territoire fortement dépendant du Danube qui est, dans sa traversée de l’Autriche encore un fleuve de montagne. Ce parc est un ensemble exceptionnel d’écosystèmes comprenant avec une vaste diversité de biotopes, une flore et une faune remarquables, un refuge pour de nombreuses espèces animales et végétales menacées, un espace naturel pour les crues comme il n’en existe plus sur le parcours autrichien du fleuve, un réservoir d’eau potable de haute qualité et un important régulateur climatique pour la région de Basse-Autriche.
Ce parc forme un paysage d’une beauté impressionnante et offre également un lieu de repos et de détente aux portes de Vienne ainsi qu’un espace pour la protection et la préservation de ce paysage unique.
La surface totale du parc est aujourd’hui de 9 600 hectares : 65% de sa surface sont constitués de forêts alluviales, 15% de prairies et environ 20% d’eau.
Les 36 kilomètres fluviaux danubiens forment la partie intégrale du Parc National des Prairies Alluviales Danubiennes. La dynamique du fleuve y est encore très active. Le niveau d’eau variable, peut atteindre, suivant le régime du fleuve et les saisons, 7 mètres de différence. Il détermine considérablement la vie sur le territoire du parc. Les inondations régulières ont façonné ce paysage étonnant et fluctuant, y créant une grande diversité d’habitats en lien direct avec le fleuve : mares, bras en activité et bras morts, bancs formés de cailloutis, rives peu escarpées et espaces de transition de l’eau vers la terre, rives pentues, forêts alluviales (forêts à bois tendre et dur), forêts de relief, prairies et zones arides de plaine alluviale.
La richesse biologique de ces territoires est exceptionnelle. On y compte plus de 800 espèces de plantes à tige, plus de 30 espèces de mammifères, une centaine d’espèces d’oiseaux, 8 espèces de reptiles, 13 espèces d’amphibiens ainsi que plus de 60 espèces de poissons. Une grande diversité d’invertébrés évolue d’autre part en milieu terrestre et aquatique.
L’histoire du Parc National des Prairies Alluviales Danubiennes et les conséquences de la présence de l’homme sur le fleuve et ses rives Les interventions répétées de l’homme ont influencé et métamorphosé le fleuve et ses plaines alluviales en particulier depuis la deuxième moitié du XIXe siècle.
Les grands travaux de régulation du Danube à la fin du XIXe siècle, ses rectifications, suppressions de méandres et endiguements ont entrainé une augmentation de la vitesse du fleuve ce qui a eu pour conséquence d’engendrer une baisse de la nappe phréatique, un enfoncement du lit et un assèchement de bras morts et de certains bras en activité du Danube qui se poursuivent de nos jours. La destruction des rivages naturels a certes été « contrebalancée » par une amélioration des conditions de la navigation mais à quel prix !
Des digues de protection ont été érigées afin de protéger la plaine alluviale et très fertile du Marchfeld (rive gauche en aval de Vienne) contre d’importantes et régulières inondations.
L’édification d’un barrage en amont, à la sortie de Vienne (Centrale hydroélectrique de Freudenau) est venu modifié le charriage des cailloux et autres alluvions par le fleuve, participant à un enfoncement préoccupant du lit du Danube dans le sous-sol.
L’industrie forestière intensive a d’autre part transformé de vastes parties de la forêt alluviale en zones d’exploitation du bois, entrainé la propagation d’espèces d’arbres étrangères et l’installation d’un réseau de petites routes.
La chasse a eu de son côté pour conséquence l’extermination d’animaux locaux comme le castor et la loutre, heureusement protégés désormais et de retour sur le fleuve.
Quant à la pêche, autrefois professionnelle et commerciale, du fait de la raréfaction des poissons, elle n’est plus qu’essentiellement sportive et de loisir. Il a aussi été constaté l’apparition d’espèces de poisson étrangères.
Un projet de barrage inopportun
Maquette du projet de barrage et de centrale hydroélectrique de Hainburg, sources ORF
L’écologiste et journaliste suisse Franz Weber fut appelé à la rescousse par les protecteurs de l’environnement autrichiens. Photo Fondation Franz Weber
Le projet peu opportun, sur le plan écologique, de construire une centrale hydroélectrique sur le Danube (la douzième du parcours autrichien !) près de la petite ville frontalière avec la Slovaquie de Hainburg (rive droite) en 1984 a été heureusement abandonné sous la pression des écologistes et de la population locale. Cette construction aurait entrainé la destruction d’une centaine d’hectares de forêt alluviale, d’îles et îlots, la disparition irréversible de rivages naturels et la construction de digues. Le barrage réservoir aurait de plus empêché le Danube de s’écouler librement vers Bratislava.
Affiche de Friedensreich (Regentag Dunkelbunt) Hundertwasser (1928-2000), « La liberté de la nature est notre liberté », 1985, Bibliothèque Nationale d’Autriche, Vienne
La plaine alluviale ne pouvant plus bénéficier des inondations, sa dynamique aurait été ainsi interrompue. La dynamique naturelle de l’eau souterraine aurait été également perturbée. L’occupation en 1984 de la plaine alluviale à Stopfenreuth par des manifestants luttant contre la construction de la centrale électrique a été déterminante pour l’abandon du projet alors que celui-ci avait été déjà voté par le gouvernement socialiste autrichien de l’époque et approuvé par la majeure partie de la classe politique. Une trêve de Noël fût alors proclamée par les politiciens du pays et les écologistes. Le développement de nouvelles alternatives a pourtant continué à être envisagé dès 1985 à la fois pour l’éventuelle construction de nouvelles centrales hydroélectriques mais aussi en parallèle pour la préservation de l’écoulement naturel du Danube.
Pétition « Pourquoi le barrage de Hainburg ne doit pas être construit », 1984, Bibliothèque Nationale d’Autriche, Vienne
La période suivante (1986 à 1989) permit l’élaboration des bases scientifiques pour la création du Parc National des Plaines Alluviales Danubiennes mais certains projets de centrales hydroélectriques sur le Danube étaient toujours d’actualité dans les hautes sphères économiques et politiques autrichiennes. En 1990 une convention est passée entre la République Fédérale d’Autriche, les responsables politiques de la ville de Vienne et ceux de Basse-Autriche autorisant la création du Parc National des Plaines Alluviales Danubiennes. De 1991 à 1995 sont élaborés les projets spécifiques du parc et le 27 octobre 1996, le traité international pour la création du Nationalpark Donau-Auen est signé par les représentants de ces mêmes institutions. Le Parc National des Prairies Alluviales Danubiennes obtiendra sa reconnaissance par l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature, catégorie II) dès 1997.
Selon les critères de l’UICN un parc national doit remplir les fonctions suivantes :
– préserver intact des écosystèmes pour les prochaines générations
– mettre fin à différentes activités économiques
– créer un programme de recherche scientifique et mettre en place un accueil spécifique pour les visiteurs.
Grèbe huppée, une habitante familière du Parc National des Prairies Alluviales Danubiennes, photo droits réservés
Activités Le Parc National des Prairies Alluviales Danubiennes propose un grand choix d’activités pédagogiques et d’initiation à la découverte de la faune et de la flore, sur l’eau comme à terre, permettant de vivre, dans ce paysage unique, des moments d’exception. Des guides professionnels accompagnent les visiteurs dans le dédale des prairies et des forêts en canot pneumatique ou en barque.
Le parc organise également des colloques et séminaires sur des sujets prioritaires tout comme des excursions pédagogiques pour les enfants et les associations. Des journées axées sur un thème spécifique sont régulièrement programmées.
Chemin faisant… Le Parc National des Prairies Alluviales Danubiennes accueille aussi les visiteurs individuels. Des cartes permettent de conseiller différents itinéraires balisés ou fléchés.
L’Office des forêts de la collectivité locale de Vienne, propriétaire des prairies et des forêts alluviales, collabore activement à la préservation des espaces du parc.
L’action du WWF « Natur freikaufen » (« Rachetons la nature ») a permis la protection d’une surface supplémentaire de 411 hectares de la plaine alluviale des prairies de Regelsbrunn.
Organisation du Parc National des Prairies Alluviales Danubiennes L’administration du parc est gérée par une société d’état à but non lucratif dont les membres sont les Régions de Vienne et de Basse-Autriche. Le directeur du parc en assure la gérance et le bon fonctionnement. L’Office Fédéral des Forêts, l’Administration forestière de la Municipalité de Vienne et la Région du Marchfeld ont la responsabilité des sentiers de randonnée, des pistes cyclables et des points de vue et d’observation aménagés.
En cas de fortes d’inondations, il peut être nécessaire, pour des raisons de sécurité, d’interdire provisoirement l’utilisation de certains chemins.
« Das Tor zur Au » (La porte sur les prairies alluviales) – Centre d’accueil et d’information du parc, château d’Orth/Donau Le Centre d’accueil et d’information du parc est hébergé au château d’Orth/Donau. On peut y trouver des informations sur le parc et son histoire, sur la commune d’Orth/Donau et sur l’ensemble de la région. On peut aussi s’inscrire pour des randonnées ou des activités dans le parc avec un guide.
L’exposition permanente « DonAUräume » offre de nouvelles perspectives sur les prairies alluviales danubiennes. Des expositions thématiques complémentaires mettent en valeur certains des aspects singuliers du fleuve sur tout son parcours. On peut enfin y découvrir une installation acoustique « A Sound Map of the Danube » et trouver également des informations sur le site naturel protégé serbe de Gorne Podunavje.
« L’île du château » est un site extérieur à proximité du centre d’accueil et d’information présentant les habitats spécifiques et la faune des prairies alluviales comme le Spermophile, la Cistude d’Europe et des espèce locales de serpents. De nombreux insectes, grenouilles et crapauds habitent prairies et mares. Des plantes aquatiques diverses et variées, parfois rares comme certaines variétés d’orchidées, en enrichissent la flore.
Le centre de l’île est aménagé en station d’observation sous-marine. L’on peut y observer avec intérêt la flore et la faune aquatique des prairies alluviales, des espèces locales de poissons, coquillages et autres crustacés.
Du haut de la tour du château on jouit d’une vue magnifique sur les prairies alluviales danubiennes, de Vienne jusqu’à Hainburg, de même qu’on peut y observer une aire de cigognes. La cour du château est le lieu de rendez-vous et le point de départ des visites guidées. Son aménagement incite à s’y attarder.
Horaires d’ouverture du centre d’accueil et d’information du parc, château d’Orth/Donau Du 21 mars au 30 septembre : tous les jours de 9h à 18h
du 1er octobre au 1er novembre : tous les jours de 9h à 17h
Visites guidées de l’exposition : tous les jours à 10h, 11h, 13h, 14h, 15h, 16h
Fermeture d’hiver du 2 novembre jusqu’au 20 mars
Pendant cette période renseignements et informations uniquement par téléphone, du lundi jusqu’au vendredi de 8h à 13h
Nationalparkhaus wien-lobAU (Maison du Parc National Wien-LobAU) Le Nationalparkhaus wien-lobAU est le centre d’information pour la partie viennoise du parc. Logé aux portes de la capitale, il est géré par l’Administration forestière de Vienne et fonctionne comme point de départ pour des randonnées dans les environs. Une exposition « tonAU » permet de découvrir l’univers sonore des forêts du parc et un spectacle multimédia informe sur l’évolution historique des prairies alluviales. www.nph-lobau.wien.at
Maison du Parc National de Wien Lobau, photo droits réservés
On peut aussi rejoindre le parc par bateau depuis le centre de Vienne (canal du Danube à la hauteur de la Schwedenplatz) du 2 mai au 26 octobre et profiter d’une visite accompagnée d’un guide.
Tel. pour réservation (places limitées) : 0043/ 1 4000 49495 www.donauen.at/besucherinfo/bootstouren
Autres centres d’information : Nationalpark-Forstverwaltung Lobau
MA 49 – Forstamt und Landwirtschaftsbetrieb der Stadt Wien
2301 Groß-Enzersdorf, Dr. Anton Krabichler-Platz 3
Tel. 02249/2353 pe-don@m49.magwien.gv.at
Nationalpark-Forstverwaltung Eckartsau
Nationalparkbetrieb Donau-Auen der ÖBf AG
2305 Eckartsau, Schloss Eckartsau
Tel. 02214/2335-18 infostelle.donauauen@bundesforste.at
Bateau-moulin d’Orth sur le Danube Promenades en « tschaike » sur le Danube (avril-fin octobre) www.schiffmuehle.at
Restaurant et café « an der Fähre », Orth/Donau
Bac pour les piétons et vélo www.faehre-orth.at
Restaurant Humers Uferhaus, Orth/Donau
Pour sa terrasse à proximité du Danube, ses spécialités de poissons (du Danube) et ses généreux desserts
Très fréquenté les weekends et les jours de fête www.uferhaus.at